DES VILLAGES DE RÉTABLISSEMENT

Produits en collaboration avec RÉZO dans le cadre de l’initiative Champions Communautaires

De l’espoir, un peu de lumière, des soins adaptés, et surtout des exemples d’une vie sans crystal meth. Voilà ce qu’il nous a manqué le plus au début de notre rétablissement. 

Des histoires comme la nôtre - comme la tienne peut-être - il y en a plus qu’on pense et on est parti à leur recherche, caméra à la main. 

On a rencontré Jean-François, Éric et Guillaume qui, comme nous, vivent une vie sans crystal meth. Ils partagent leur vécu et racontent comment ils en sont venus à construire leur propre village de rétablissement.

 
 
 
 

Guillaume

Guillaume consommait seul, d’abord pour mieux travailler puis simplement pour fonctionner un peu. Aujourd’hui, c’est le sentiment de communauté qu’offrent les fraternités anonymes qui lui a permis de construire son village de rétablissement. Entre deux parties de basket où il nous bat à plate couture, Guillaume se confie sur l’obsession, la solitude et, avec une étincelle dans les yeux, sur l’accueil et le contact humain.

 
 
 

Éric

Pour Éric, l’écriture et la création ont été des piliers dans sa quête de sobriété. Grâce à son métier d’auteur.trice de théâtre, iel a pu s’accrocher au rétablissement et s’exprimer avec vulnérabilité. Dans son salon coloré et animé d’adorables minous, on a parlé de chemsex, de honte mais surtout, de lumière et de changement.

 
 
 

Jean-François

Jean-François n’a pas consommé de crystal meth depuis son passage en prison, il y a plus de 6 ans. Aujourd’hui, son village est composé d’activités, de passions et de personnes qui l’aident à être la version 2.0 de lui-même. Autour d’une assiette de mini-gaufres, on a jasé de survie, de sport et de liberté.

 
 
 

Le Projet

Entre deux prises, Alexandre et Jean-Sébastien parlent de ce qui a motivé ce projet et ce qu’ils espèrent transmettre comme message. Ils racontent par le fait même leur propre expérience de rétablissement.